C'est ainsi que nous avons passé la nuit, à pleurer ce décor.
C'est sur cette phrase que s'achevait le rêve, juste avant l'aube et le réveil.
Qu'avons-nous à pleurer dans ce décor ?
Un dé-corps.
Une défaite du corps. Un départ du corps. Une disparition du corps ; et le reste, devenu alors à jamais inaccessible lorsque cette porte d'accès qu'était le corps dé-part.
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