Je pense quotidiennement à vous. A vous aussi, bien sûr. Plusieurs fois. Et à vous aussi, chaque jour, une pensée au moins. Pourtant je ne vous écris plus jamais, je vous parle encore moins.
A vous, je pense un peu moins souvent à présent, mais il ne se passe pas de semaine.
Mais toi, non, si tu savais combien j'ai pensé à toi ces derniers mois.
Et comme cela doit t'indifférer, que j'aie pensé à toi, puisque nous ne nous sommes pas vues du tout, et parlé si peu souvent. A quoi sert donc de tant penser à toi si c'est pour mettre tant de délai entre nous ?
Toi qui es à présent alitée, bien maigre consolation, que j'aie eu tant de pensées pour toi.
Ainsi la vie périt par le délai, et chacun meurt, à se priver de plaisir.
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